Le selfbondage et la chasteté pousse parfois à des extrêmes

Je me suis réveillé, mais juste juste. J'ai eu le goût dans ma bouche de beaucoup trop de bière de la veille et d'un mal de tête extrême. Lentement, il est revenu vers moi ... le bar, puis la fête, puis le club, puis mes délires via internet avec ce mec. J'ai levé ma main vers ma tête, mais elle n'est arrivée qu'à mi-chemin, tirée en arrière par mon autre main. Je les ai soulevées pour voir ce qui se passait, puis j'ai réalisé ce que j'avais fait.

Je suis un passionné de self-bondage occasionnel, et fantasme parfois d'être enfermé dans des chaînes. J'ai tout l'équipement, mais je ne l'utilise pas souvent. À l'occasion, lorsque je me sens assez aventureux, je mets une paire de menottes ou me menottes avant de me coucher. Et je suppose que la nuit dernière était une telle nuit. Après avoir déliré avec ce mec rencontré au club avec qui j’ai continué sur internet, j'ai dû mettre ces menottes avant d'aller me coucher et de le découvre maintenant. J'étais accroché et pas vraiment d'humeur pour les jeux de bondage, mais ce n'est pas comme si j'avais le choix maintenant.

J'ai levé expérimentalement un pied et j'ai trouvé, sans grande surprise, que mes menottes de jambes étaient également verrouillées. Il y avait une chaîne reliée à mes menottes, et j'ai trouvé avec un peu de tiraillement qu'elle était reliée non seulement à mes menottes mais aussi au collier en acier qui semblait être aussi verrouillé autour de mon cou.

Alors voilà, j'avais voulu me sentir comme un prisonnier enchaîné, et c'est exactement ce que je ressentais. Je suis sûr que la plupart des prisonniers ne voulaient pas être là et voulaient juste être libérés de tout, et dans mon état de gueule de bois, c'est exactement ce que je ressentais aussi. Mais il y avait une partie de moi qui appréciait le côté pervers de ma situation - se réveiller enchaîné était un fantasme brûlant. J'ai déplacé ma main sous ma couette pour voir si la chaîne était assez longue pour qu'elle trouve ma bite. Mais je ne m'attendais pas à entendre le bruit du métal.

J'ai soulevé la couette pour voir ce que mon moi ivre avait fait à mon moi ! Et là, j'ai trouvé ma ceinture de chasteté. Acier brillant et solidement verrouillé, mon sexe coincé profondément sous ses barrières métalliques.

C'était encore un autre aspect de ma situation perverse - enchaîné et privé de tout plaisir sexuel. Malgré le mal de tête, cela a commencé à m'exciter. Je pouvais sentir ma bite piégée monter jusqu'aux limites, mais toujours piégée dans le petit tube de la ceinture.

Mais alors une autre surprise - les pointes ! Alors que mon sexe se dilatait, j'ai commencé à sentir des pointes presser contre ses côtés. Cela a commencé à devenir douloureux, puis est devenu soudain très, très douloureux. Mes mains se sont précipitées à son secours, pour se heurter contre l’acier.

Mon moi diabolique, stupide et ivre avait décidé qu'il serait «amusant» d'installer le «régulateur», un ensemble de petites pointes qui s'insèrent à l'intérieur du tube de la ceinture, pour «punir» le porteur de toute excitation qui pourrait être tentée. . Je l'avais essayé à quelques reprises lorsque j'ai acheté la ceinture de chasteté pour la première fois, mais j'avais rapidement décidé que c'était tout simplement trop douloureux quand j'ai commencé à devenir dur, et j'ai abandonné.

Heureusement, j'ai réussi à me calmer suffisamment pour annuler mon érection et la douleur a disparu. Malgré la perversité de se réveiller dans un tel esclavage, je ne devrais pas y penser jusqu'à ce que je sois sorti de la ceinture, et même ne pas penser à ce que je ferais alors.

Je suis sorti du lit en cliquetant au fur et à mesure. J'ai ressenti une sensation étrange en bougeant et j'ai compris que quelque chose se passait autour de mon cul. J'ai atteint le dos de ma ceinture de chasteté et j'ai découvert que la base d'un plug anal était fixée à la barre arrière! Je ne savais pas trop à quel point il pouvait être grand, sauf qu'il semblait très gros et était fixé à la ceinture avec un cadenas, donc il n'y avait pas de sortie sans les clés.

Je me dirigeai vers le tirage au sort où je garde mon équipement de selfbondage pour récupérer les clés. Cependant, à ma grande surprise, après avoir fouillé, aucune clé n'était là. J'ai regardé un peu plus loin dans la pièce, mais n'en ai trouvé aucune.

Je suis allé chercher de l'aspirine tout en réfléchissant à ma situation. Je n'avais pas réalisé à quel point j'étais rusé, mais je devais le déjouer ... Je veux dire, moi. Sûrement que mon moi sobre était plus intelligent que mon moi ivre ? J'ai trouvé un indice, ce qui m'inquiétait. Une empreinte boueuse près de la porte du patio, probablement de ma part dans un parterre de fleurs hier soir. Les preuves suggéraient que les clés que je cherchais étaient probablement dans l'abri de jardin - plus le fait qu'elles ne se trouvaient nulle part dans la maison.

Je n'avais donc qu'à sortir par le jardin pour aller au hangar. Et en chemin, je pouvais dire «bonjour» à mon voisin qui faisait du jardinage. Et puis je pouvais expliquer pourquoi j'étais couvert de chaînes et portant des sous-vêtements en acier sûr ... Il n'y avait aucune sorte de vêtements que je pouvais penser que je pouvais mettre, étant donné que mes mains et mes pieds étaient verrouillés ensemble et enchaînés à mon collier. Je pourrais peut-être mettre une couverture sur moi, mais ce ne serait pas moins étrange que mon esclavage.

J'étais piégé. Jusqu'à la tombée de la nuit où je pouvais courir à travers le jardin sans être remarqué, j'étais pris au piège dans ma maison. Je m'étais en fait transformé en prisonnier enchaîné, pris au piège dans une maison toute la journée, incapable de toucher sa bite ou même de retirer ce plug anal de lui-même. Encore une fois, ma situation m'a énervé.

Et pas pour la dernière fois. Bêtement, au lieu de faire quelque chose pour me distraire comme lire un livre, j'avais choisi d'aller en ligne et d'écrire aux gens dans les bavardoirs comment j'étais enchaîné et excité. Beaucoup voulaient me voir sur webcam, ils ne croiraient pas mon état de servitude et ne croyaient toujours pas que je n'avais pas les clés. Souvent, ils me disaient des choses très sexy, juste pour voir la douleur sur mon visage, douleur du à mon érection.

C'était l'été, la nuit est donc venue tardivement. Mais finalement, c'est venu, et j'ai pensé qu'il faisait assez sombre pour pouvoir courir dans le jardin sans éveiller les soupçons.

J'étais prêt. J'avais attaché des chaussettes autour des parties stratégiques de mes chaînes pour les empêcher de faire du bruit. J'ai ouvert la porte patio et j'ai fait environ 10 pas quand j'ai été ébloui par une lumière brillante! J'avais oublié ma lampe de sécurité, conçue pour m'alerter la nuit des «gens étranges» dans mon jardin - et qui pourraient être plus étranges que moi ....

Je me suis précipité dans la maison. Heureusement, j'ai pu l'éteindre en tirant sur un fusible, j'ai donc pu m'aventurer dans le jardin dans l’obscurité. Je suis arrivé au hangar. Pas moins de trois cadenas avaient été utilisés pour maintenir la porte verrouillée, mais j'avais vu cela pendant la journée et j'avais trouvé toutes les clés cachées autour de la maison. Après quelques cliquetis, je suis entré.

Il y avait des clés jetées partout - certaines sur le plan de travail, certaines dans des seaux, même une au fond d'une boîte de peinture (heureusement vide). J'ai rapidement fait correspondre les clés aux serrures et me libérer.

J'ai été particulièrement heureux lorsque j'ai trouvé la clé pour libérer mon plug anal. Je n'ai pas attendu, j'ai attrapé tout le reste puis j'ai couru dans la maison aux toilettes pour soulager mon cul douloureux. Le hangar contenait toutes les clés de toutes les serrures que je portais, sauf une. La ceinture de chasteté était toujours bien verrouillée.

Je suis retourné au hangar, maintenant habillé normalement, et j'ai fouillé mais je n'ai pas pu le trouver même si je le cherchais partout. Autrement dit, partout sauf à l'intérieur de mon coffre-fort numérique. Mon état d'ébriété était certainement rusé bien qu’avancé hier soir pour que je fasse ça. J'ai secoué le coffre-fort et il y avait effectivement quelque chose de petit comme une clé à l'intérieur. Le coffre-fort est verrouillé par un numéro que vous pouvez définir lorsque vous le fermez. J'ai essayé le réglage habituel de "0000" mais bien sûr cela n'a pas fonctionné. J'ai essayé tous les autres numéros auxquels je pouvais penser, mais rien n'a ouvert la porte sécurisée du coffre-fort.

Le coffre-fort avait une ouverture de clé manuelle de sauvegarde pour de telles urgences, mais bien sûr, j'ai jeté cette clé il y a des années, car ce serait « plus amusant » ! J'ai réfléchi à ce que j'aurais pu faire ... quel nombre j'aurais pu utiliser, ou où je pourrais l'avoir écrit.

Puis j'ai réalisé la signification de quelque chose que j'ai trouvé plus tôt, auquel je ne pensais à rien à l'époque. Dans le hangar, j'ai trouvé mon téléphone portable. Peut-être que j'avais appelé ou envoyé un SMS à quelqu'un et lui ai envoyé le numéro, lui demandant de le retourner dans quelques jours ou quelque chose.

Enfin, j'avais la preuve que ma sobriété était vraiment plus intelligente que mon ivrogne - mon téléphone enregistre tous les messages texte envoyés. Je n'avais qu'à regarder dans mon dossier «éléments envoyés» et lire le message. J'ai été horrifié de constater qu'il était vide! Il n'y avait aucun message envoyé - ou plutôt, mon moi ivre était assez intelligent pour réaliser que mon moi sobre regarderait là-bas, et avait effacé la liste!

Le fait effrayant était qu'il indiquait presque certainement que j'avais envoyé un texte en état d'ivresse et que je ne voulais pas que je le lise, donc la clé de ma liberté était vraiment entre les mains de quelqu'un d'autre, et je n'avais aucun moyen de savoir qui à par cet inconnu rencontré au club avec qui j’avais continué de délirer sur internet !

Je suis retourné dans la maison, essayant de penser à qui c'était. J'ai essayé quelques amis, ne pensant pas vraiment qu'ils pourraient être mon porte-clés mais devant quand même essayer. J'ai inventé une histoire d'être très ivre et de m'excuser si je les ai appelés ou si je leur avais envoyé des textos. Soit ils ne savaient pas de quoi je parlais, soit ils étaient intelligents et jouaient stupide, mais je m'attendais à la première.

J'ai aussi pensé à des façons d'ouvrir le coffre-fort, comme y laisser tomber un gros rocher, mais ce serait aussi susceptible d'écraser la clé que n'importe quoi. Ou de percer la ceinture, mais ce serait difficile, dangereux et cher. Je me suis recouché. Je me suis réveillé plusieurs fois à l'agonie alors que je devenais dur dans la nuit et que les pointes avaient percé ma chair tendre. Je me suis levé le matin avec l'impression d'avoir à peine dormi.

L'ironie n'était pas perdue pour moi - pendant des années, j'avais rêvé d'être enfermé dans la chasteté, et maintenant c'était arrivé à cause de quelques bières de trop, et je voulais juste en sortir. Mais je suis quand même allé en ligne dans les salons et j'en ai parlé, et les gars m'ont reparlé, et cela m'a encore excité et j'ai eu mal.

Enfin, après environ 40 heures de servitude, j'ai reçu un e-mail. C'était d'un gars à qui je discutais occasionnellement en ligne sur la servitude et la soumission. Son pseudo en ligne était Master Harsh, mais son vrai nom était Jeremy. Nous avions parlé de sa domination sur moi, mais ce n'était que des conversations en ligne et nous savions tous les deux que cela n'arriverait jamais à rien. C'est du moins ce que je pensais, mais maintenant l'e-mail que j'ai reçu se lisait:

Boy, vous avez pris la bonne décision. Je vous amènerai à l'état de soumission et d'adoration de votre Maître que vous avez toujours désiré. Attendez les commandes de votre nouveau maître.

J'étais sans voix! Je n'avais jamais imaginé faire quelque chose comme lui donner le contrôle de ma ceinture de chasteté. Je ne savais pas vraiment à quoi il ressemblerait en tant que Maître. C'était assez effrayant de penser que le contrôle de mon avenir était entre les mains de cet étranger.

J'ai essayé de me souvenir de toutes les choses dont je lui avais parlé. J'ai dû lui dire des choses que je pensais qu'un «vrai maître» devrait faire à son esclave, comment l'esclave devait être traité. Avait-il vraiment pris tout cela en compte et allait maintenant me rendre ce que j'avais demandé ? J'ai alors réalisé que je n'avais pas pensé à regarder dans mes e-mails les «articles envoyés». Et, bien sûr, c'est le courrier que j'ai envoyé alors que j'étais ivre. Je lis avec une horreur fascinée:

Monsieur, c'est avec humilité que cet esclave soumet son corps à votre service. Pour vous prouver mon dévouement, j'ai déjà envoyé un SMS contenant la combinaison à 16 chiffres au coffre-fort numérique contenant les clés de ma ceinture de chasteté.

Je suis actuellement enfermé dans les chaînes du cou, du poignet et de la cheville, et je porte le plus gros plug anal que je possède, et j'espère que cela rencontrera votre approbation.

Cet esclave doit apprendre que ma bite n'est pas la sienne et ne doit pas être utilisée pour mon propre plaisir. J'espère que vous vous assurerez que ma bite est maintenue à l'abri de toute mauvaise utilisation jusqu'à ce que vous considériez que j'en ai assez appris sur le fait d'être un esclave et qu'il est sûr de le libérer, peu importe les semaines et les mois qui peuvent prendre.

Je m'efforcerai d'accomplir toutes les tâches que vous voudrez me confier, aussi humiliantes ou dégradantes soient-elles, et je comprends que mon échec à respecter vos normes élevées entraînera mon échec à gagner le titre d'esclave, etc. ne pas obtenir la libération de la ceinture de chasteté.

Votre obéissant serviteur.

Semaines et mois! Humiliant et dégradant! Dans quoi diable m'étais-je embarqué!?

Et j'ai été surpris de voir à quel point j'écris avec éloquence quand je suis ivre.

J'ai essayé de le raisonner. Je lui envoie un mail expliquant ce qui s'est passé et que je ne pensais pas vraiment tout ce que j'ai dit. Il a répondu, expliquant que je le pensais au moment où je l'ai envoyé, et qu'il pensait que ça me ferait du bien d'apprendre à être esclave pendant un certain temps.

Je ne pouvais rien faire. J'ai accepté le plan. Il m’a fait faire des trucs durs et douloureux en webcam quand ce n’était pas très humiliant jusqu’au jour où je ne l’intéressais plus. Ce jour là il m’a donné le code de mon coffre.

madismaximus

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